L’insoutenable légèreté de lettres

 
 
Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle,
Quand les métamorphoses vous laissent de marbre,
Quand les premiers frimas engourdissent votre carcasse pe(n)sante,
 
Il est bon de se piquer d’un peu de légèreté,
 
 
Cet article a été publié dans Divertissement. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

14 commentaires pour L’insoutenable légèreté de lettres

  1. Maggy dit :

    Le rêve devenu réalité :p (t\’as vraiment rien à faire de tes journées :p)

  2. David dit :

    ils sont jolis ces petits textes qui nous emmènent sur du futile…

  3. Emmanuel dit :

    "J ai vu dans les espaces que ménagent les nuages une figure horrible qui grimace au temps qui passe sans avoir fait
    mais, j\’ai vu par leur  présence l\’espoir, et cela derrière les improbables dessins qu une main aveugle torture dans notre esprit, pour arrêter notre regard sur les dessins du rideau qui cache…
    L homme a t il besoin de se créer des obstacles pour fertiliser l imagination ou pour induire le fait que rien  n\’existe sans la différence."
    Allez les sorbonnardes et aussi nos religieux et même voire surtout nos scientifiques, vous avez quatre heures et une seule copie , non mais!, pour m\’expliquer ce que j ai voulu dire… je ramasse dans deux jours!
    Bizz
    Papa

  4. Erika Caribou dit :

    O_OKYAAAAAAAAAH!Trop bien!ça m\’a fait du bien. ^^Arigato!

  5. Anne-Claire dit :

    Presque aussi vrai que du vrai…Bien d\’accord, ça fait du bien. J\’ai tout explosé en mode maniac…c\’est grave ?

  6. Isabelle dit :

    J\’ai fait la même Anne-Claire, en sus du mode normal : ça détend !

  7. Emmanuel dit :

    Pour aider ceux qui n\’auraient pas l\’étincelle pour craquer le sujet….à la place des bubulles…
    « On peut être l’architecte de ses propres prisons, ou pas. »Douglas Kennedy
     
    Bizz
    Papa
     

  8. Isabelle dit :

    Euh, je suis désolée mais je dois t\’avouer que cette phrase me semble être un topos un peu ressassé et facile, ne trouves-tu pas ?
     
    D\’autant plus que, comme j\’ai essayé de te l\’expliquer tout à l\’heure (mais tu as continué l\’interprétation herméneutique de mon léger billet… ce qui était aussi tout à fait ton droit, certes), l\’essence de ce billet n\’est nullement regret mais simple légèreté prise au sein d\’un contexte automnal et relativement studieux.
     

  9. Christophe dit :

    C\’est vrai que ça fait du bien de crever ces bules. Merci Zabou

  10. Emmanuel dit :

    facile?
    Mais tellement difficile à mettre en évidence dans son parcours….
    La preuve!

  11. Isabelle dit :

    Cette preuve que tu cherches tant à voir dans mon billet n\’existerait que si tu considères le fait de jouer comme tel… ce à quoi tu nous encourages plutôt ! (je dis nous pour nous, tes 3 enfants !)
     
    Quant à ton interprétation de ma vie telle que tu l\’as tracée vendredi soir, non, je ne suis pas d\’accord. Oui, j\’ai parfois du mal à gérer mes choix pour mener une vie pas trop à 100 à l\’heure, oui, je suis parfois crevée voire complètement explosée comme je l\’étais vendredi, mais ce sont mes choix et je les considère non comme des prisons mais libérateurs parce que miens. D\’ailleurs, m\’as-tu vu m\’en plaindre de mes choix ? Tu m\’as demandé explication de ma fatigue, je t\’en expliqué la somme "angine + taf" : pas de plainte, juste des faits.
     
    A moi de réguler ensuite, et là, oui, parfois, je merde sur ce point. Et je dois y veiller, ne serait-ce que pour ma santé.
     
    Mais mes choix restent mes choix : "L\’obéissance à la loi qu\’on s\’est soi-même prescrite est liberté"… un religieux quelconque pour justifier ses choix fous au reste du monde ? Non : Kant.
     

  12. Emmanuel dit :

    la preuve est dans le mode disqualifiant que tu utilises pour sanctionner mon choix de phrase, mais il m importe peu de mexpliquer en revanche tu n\’es pas juste car … pour le reste je ne crois pas avoir été dans une quelconque ingérance …
    pour le reste je m interesse à ta santé et te prie juste d\’entendre un conseil sur la manière de gérer les priorités, jamais je nai interprété tes choix et t\’ai toujours laissée faire ce que tu veux , y compirs véto y compris medecine alors que….bien sur tu n\’étais juste pas trop faite pour ça…Et  puis, Je te parle du fait de faire dans l urgence et dans le dernier instant, comme si cela stimulait Or….la création nécessite des latences…
    Mais bon sur un blog cela manque un peu de pudeur je trouve.

  13. Isabelle dit :

    Je suis désolée mais, effet Sorbonne, ou évolution personnelle, ou les deux, il y a un certain genre d\’auteurs que je ne supporte plus. J\’ai pris goût à la délicieuse résistance du texte et supporte peu ce genre d\’auteurs érigés en censeurs de ma vie.
     
    S\’il m\’arrive de travailler dans l\’urgence, effectivement, rien de tout cela n\’était en jeu vendredi soir puisque les éléments pris en compte dans ma fatigue ne sont que maladie et travaux pour dans presque 2 mois. Que je fais maintenant (ai fini un c-r pour le 16 décembre). Justement pour ne pas céder à la procrastination.  
     
    Oui, cela manque de pudeur sur un blog où je n\’étale pas ma vie privée en règle générale mais je ne pouvais laisser tes affirmations sans commentaire. Et il ne s\’agissait pas d\’une ingérence de ta part mais de commentaires que je trouve erronés sur ma vie (je ne parle pas du fait général de veiller à ma santé où là, je suis d\’accord).  
     

  14. Isabelle dit :

    Enfin, désolée si je parais dure, ce n\’est vraiment pas le but que je recherchais ici.
     
    e tiens seulement à réaffirmer que ces quelques lignes posées sur ce blog n\’ont pas forcément à être interprétées : elles sont souvent là ainsi, comme elles viennent.
     

Répondre à Christophe Annuler la réponse.